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C'est le résumé de ces fameuses inventions et ces grandes fiertés du libéralisme catholique.

Pourquoi suivre le courant? Nous sommes baptisés, nous sommes sacrés pour remonter le courant, ce courant de mensonge, ce courant de boue qui mène à la perdition.

Les païens étaient libéraux. Ils ne demandaient qu'un signe: avilir le Christ, le mettre au rang de leurs idoles. Le culte aurait été libre. Les païens eux-mêmes reconnaissaient sa philosophie supérieure, l'aurait adoré comme Esculape. Jésus aurait eu des temples. Le proconsul ne demandait qu'un signe pour que les Chrétiens cessent d'être persécutés. Eux affirmaient la royauté du Christ et subissaient le martyre. Ils confessaient le Dieu unique et ils mourraient.

"Suivre le courant est indigne de ceux qui ont été marqués du Saint Chrême!"

De nos jours plus que jamais, la force principale des mauvais c'est la lâcheté des bons, et tout le nerf de la guerre de Satan réside dans la mollesse des Chrétiens…

"Mes amis n'ont rien fait pour Me défendre et se sont rendus complices de mes adversaires…Les plaies que j'ai au milieu de mes mains, m'ont été infligées, dirait le Christ, dans le Maison de ceux qui m'aimaient" (S. Pie X, 1908).

L'homme moderne est sceptique, blasé, sans consistance ni caractère, il est facilement manœuvré. Il se trouve dans un état d'abattement à la suite de ce qui se passe dans l'Église. Il suit le courant qui le conduit à un système déjà condamné comme hérétique et apostat.

Dieu nous invite à la vérité, n'ayons pas peur de la répandre. Ne repoussons pas l'appel de Dieu à la vérité.