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"La chaire de Pierre et les postes d'autorité de Rome étant occupés par des antéchrists, la destruction du règne de Notre Seigneur se poursuit rapidement à l'intérieur de son corps mystique ici-bas…" (Mgr. Lefebvre, 1987)
Le "pape" s'est comporté, à la synagogue de Rome, comme s'il ne croyait pas à la divinité de Jésus-Christ: il a tendu la main à ceux qui la nient.
"Celui qui nie que Jésus soit le Christ, c'est lui l'antéchrist. Qui demeure dans la doctrine, celui-là possède et le Père et le Fils. Si quelqu'un vient à vous sans apporter cette doctrine, ne le recevez pas chez vous et ne le saluez pas! Car celui qui le salue s'associe à ses œuvres mauvaises." (S. Jean)
"Le Prêtre apostat est le premier facteur que recherche le Diable pour réaliser son œuvre de rébellion." (Dom Salvany, 1887)
Au sujet du N.O.M. (Novus Ordo Missae)
(Promulgué par Paul VI en 1969)
La présence des protestants (six) pour la réforme liturgique de la Messe avec Paul VI pose un problème. Pour prier ensemble, il fallait retirer du culte catholique ce qu'ils ne pouvaient pas admettre.
"Le Nouvel Ordo s'éloigne de manière impressionnante, dans l'ensemble, comme dans le détail, de la théologie catholique de la Sainte Messe, définie à jamais par le Concile de Trente." (Cardinaux Ottaviani et Bacci - 1969)
"Maintenant, nous (pasteurs protestants) nous pouvons dire la Messe avec les prêtres catholiques."
Les protestants ne croient pas à la présence réelle corporelle, il n'y a qu'une présence virtuelle du Christ.
On a retranché dans le culte toutes les cérémonies, toutes les formules qui expriment des mystères.
L'agenouillement des fidèles devait être regardé comme un signe extérieur d'humble reconnaissance à Dieu pour le bienfait de la communion (spirituelle) et nullement comme un acte d'adoration (pour exclure toute apparence d'idolâtrie). La lutte contre la réception de la communion à genoux, au dire de Philip Hughes: "la dernière pierre à empiler sur le tumulus sur lequel reposait l'ancienne croyance à la sainte Eucharistie".
L'agenouillement a été radicalement supprimé, au point de refuser la Communion aux fidèles qui osent encore s'agenouiller. Un archevêque donna même des coups de pied aux genoux d'une vieille dame agenouillée, l'invitant ainsi à se relever. - deux prélats restèrent attachés à la messe traditionnelle (ouvertement et publiquement), Mgr. Marcel Lefebvre et Mgr. Antonio de Castro Mayer.
"Le rêve de Paul VI était de réunir tous les hommes dans une sorte de religion humanitaire où il n'y aura ni catholiques, ni protestants, ni musulmans, etc. Dans une première étape on ne parle plus de catholiques mais de chrétiens; dans une 2e étape, on prône l'union des chrétiens avec les Juifs, les Musulmans etc. Depuis, on parle de croyants, ce qui permet d'englober sous ce nom toutes les religions, qu'elles professent Jésus-Christ, Mahomet ou Bouddha: c'est la fameuse unité décrétée par Paul VI au prix de la Vérité."
La nouvelle liturgie est tournée vers l'homme, c'est le culte de l'homme qui s'honore lui-même par l'intermédiaire de la liturgie.
La définition de la Messe est luthérienne, donc carrément hérétique. L'offertoire est purement et simplement supprimée.
Si la messe n'est pas un véritable sacrifice offert à Dieu, si ce n'est rien d'autre que d'offrir le Christ à manger, un repas, qu'il soit anathème celui qui dit cela. L'objet de la messe n'est pas conforme à la doctrine catholique. Elle est intrinsèquement mauvaise. Cette liturgie hérétique et invalide est sacrilège. Il nous est interdit de participer à ces rites réformés. Y participant, nous participons à une action sacrilège.
Cette conclusion est évidente. C'est un devoir de s'abstenir complètement d'assistance à cette messe sacrilège. C'est un rite protestant qui offense Dieu, qui nous prive de l'adoration due à Notre Seigneur et même de sa présence.
L'hostie n'est que du pain, tout acte d'adoration n'est que de l'idolâtrie. Cette messe est injurieuse à Dieu et dangereuse pour la foi des fidèles.
Donc, assister à la nouvelle messe est, de soi, un péché contre la foi et contre le 1er commandement.
Le fidèle n'a pas à choisir entre deux maux, mais entre un mal certain (commettre un péché) et la perte d'un bien (la privation des sacrements).
Le N.O.M. ne vient pas de l'Église et ne peut pas venir d'elle. Ce serait blasphémer l'Épouse du Christ toujours sainte.
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