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Jean-Paul II: au sujet de la morale

A une première messe en Papouasie, une femme "à demi-nue" lit l'épître à sa messe (1984).

Après cette "nouvelle liturgie", "il sera on ne peut plus difficile pour les prêtres catholiques d'enseigner la pudeur, la décence, la chasteté", puisque le "pape" a permis cette indécence de quel droit cherchez-vous à l'interdire en Europe?" (P. André)

Ne faut-il pas suivre la mode !

Le nouveau code de droit canon inverse l'ordre des finalités du mariage, quel laxisme moral! On recommande comme souhaitables des méthodes de régulations des naissances que Pie XII réprouvait sous peine de péché mortel.

La séparation de l'Église et de l'État est considérée par Jean-Paul II comme étant le régime idéal, c'est l'apostasie, vive le progrès! Cette proposition a été condamnée par le ch. 6 du Syllabus, et pourtant c'est celle qui a prévalu au Concile!

"La démocratie doit être fondée sur les droits de l'homme et les libertés fondamentales… l'intolérance est une menace pour la paix.

"L'Église ne demande rien d'autre que de pouvoir coopérer avec tous les régimes et tous les peuples, quelles que soient leurs tendances et leurs idéologies, pour la constante élévation de l'humanité." (Jean-Paul II, 1979)

C'est le principe du système démocratique moderne: la souveraineté populaire. L'autorité réside dans le peuple. C'est le peuple qui confère l'autorité. On oublie tout simplement que l'autorité vient de Dieu. L'autorité du père de famille, c'est une autorité naturelle, qui est conféré par la nature. Ce ne sont pas les enfants qui confèrent l'autorité au père.

Nous sommes tous inégaux, nous ne sommes pas tous égaux; c'est le Bon Dieu qui l'a voulu ainsi. Il a voulu cela pour que nous nous aidions les uns les autres, et que nous faisions partager nos dons à ceux qui en ont le moins. On est pas tous identiques, on a pas tous les mêmes droits. On peut désigner le sujet de l'autorité mais on ne peut pas donner l'autorité, c'est Dieu qui la donne.


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